La mesure de la dérive par Alexander MAKSIK

Ce qu’en dit l’éditeur

Baigné d’une sensualité solaire, « un roman d’une beauté à couper le souffle », dixit The San Francisco Chronicle. L’histoire hypnotique d’une jeune émigrée libérienne qu’une extrême solitude et une faim dévorante amènent au bord du vertige. Une sublime variation sur la dignité humaine, dont l’héroïne nous hante encore longtemps après la dernière page.
Salué comme un chef-d’oeuvre « d’une beauté à couper le souffle », stupéfiant de finesse et d’humanité, un roman hypnotique sur l’exil, le poids du passé et l’importance vitale de notre relation aux autres. Des ténèbres du Liberia en guerre au soleil écrasant des Cyclades, l’odyssée d’une jeune femme accrochée coûte que coûte à la vie, et à sa dignité.
Jeune Libérienne, Jacqueline installe son grabat de fortune dans une grotte, sur une plage de Santorin. Chaque jour, elle lutte pour trouver un peu de nourriture et d’eau, éviter les rondes de police, passer inaperçue au milieu des touristes. Chaque jour, la faim et la solitude l’affaiblissent un peu plus. Chaque jour, la voix de sa mère la hante davantage, évoquant les images profondément enfouies d’une autre vie, mesures de sa dérive.
Mais pourquoi Jacqueline est-elle si seule ? Quelles terribles circonstances l’ont-elles amenée là ? Comment affronter l’insoutenable ?
Face à la folie qui la guette, c’est en elle-même qu’elle devra trouver la force, malgré tout, de continuer à vivre.

| |

La Mesure de la dérive  | | | | Alexander MAKSIK
Traduit par Sarah TARDY | | | |

|

 


Voir aussi :

Medias - AFP - Agence France Presse "La mesure de la dérive" : comment échapper au passé ?

 

Lire la suite : Belfond